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Radio Métropole : 8 mars 2017 - Journée Internationale de la Femme

 

 

AlterPresse : Haïti-Genre : La Sofa craint une aggravation de la situation économique des femmes avec Jovenel Moïse au pouvoir

 

 

Haïti Libre : Social : Faits et chiffres sur la situation des femmes en Haïti

 

 

Haïti Libre : Union Européenne : Hommage aux femmes haïtiennes

 

 

 

 

 

DIVERS

 

 

Radio Métropole : L'autopsie du corps de Préval à été réalisée

 

 

Haïti Press Network : Société-Justice : Sommé, Michel Martelly risque la prison pour attentat aux mœurs et outrage public à la pudeur  

 

 

Radio Kiskeya – Editorial: HALTE LA, SWEET MICKY !

 

 

 

 

 

Presse Internationale

 

 

Jamaica Observer: PJ Patterson pays tribute to former Haitian president Rene Preval

 

 

 

 

 

 

 PRESSE NATIONALE

 

 

 

 

 

 

JOURNEE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES

 

 

 

 

Radio Métropole : 8 mars 2017 - Journée Internationale de la Femme

 

 

Le Conseil électoral Provisoire (CEP) annonce une série d’activités durant le mois de Mars pour commémorer la journée internationale des droits des femmes

 

 

Publié le mercredi 8 mars 2017

 

 

Le Directeur exécutif du CEP, Uder Antoine, et la secrétaire générale de l’organisme Marie Frantz Joachim, annoncent une exposition sur la participation des femmes dans le processus électoral au local du CEP et des initiatives en rapport avec la problématique de genre.

 

 

Marie Frantz Joachim, estime que la violence, est l’un des facteurs qui empêche la participation des femmes aux élections.

 

 

Par ailleurs, hier à l’hôtel Oasis s’est déroulé une journée de sensibilisation sur la violence, à l’initiative de plusieurs organisations dont le Mouvement des Femmes Haïtiennes pour l’Education et le Développement (MOUFHED), Femmes En Démocratie (FED), The Edge Worldwide et le Centre de promotion des femmes ouvrières (CPFO).

 

 

La responsable du MOUFHED, Mme Jessie Ewal Benoit, affirme que ces activités entrent dans le cadre de leur projet visant à combattre la violence contre les femmes.

 

 

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AlterPresse : Haïti-Genre : La Sofa craint une aggravation de la situation économique des femmes avec Jovenel Moïse au pouvoir

 

 

mercredi 8 mars 2017

 

 

P-au-P, 8 mars 2017 [AlterPresse] --- Avec le choix du modèle de développement économique (basé sur l’agro-business et l’exploitation) du président d’Haïti, Jovenel Moïse, la situation économique des femmes risque d’empirer, prévient la Solidarité des femmes haïtiennes (Sofa), à l’occasion de la journée internationale des femmes, le 8 mars 2017.

 

 

Dans une note transmise à AlterPresse en date du 6 mars 2017, la Sofa déplore les mauvaises conditions de travail des femmes notamment dans les industries agroalimentaires et la liquidation à des étrangers des espaces touristiques où les femmes vont se prostituer.

 

 

D’autre part, la position « anti-femmes » de certains dirigeants et citoyens rend la condition des femmes de plus en plus vulnérable, souligne-t-elle.

 

 

« Les agressions verbales et psychologiques, chantages sexuels, viols, fruits du système patriarcal, nous permettent de voir clairement dans quelle société nous vivons aujourd’hui », dénonce t-elle.

 

 

Ces pratiques qui continuent de ravager la société montrent clairement la nécessité de renforcer le mouvement féministe, afin de continuer à combattre le pouvoir machiste et autoritaire, axé sur la corruption et l’impunité, avance-t-elle.

 

 

Martelly, un accroc aux droits des femmes

 

 

La Sofa condamne les propos obscènes proférés par l’ex-président Michel Martelly, alias Sweet Micky, pour dénigrer les femmes et les attaquer dans leur corps, lors du défilé du carnaval national des Cayes, les 26, 27 et 28 février 2017, en présence du président Jovenel Moïse.

 

 

C’est un signe qui montre clairement la volonté de l’actuel chef d’État de suivre les traces de Martelly.

 

 

Encore une fois, ce dernier a porté atteindre aux femmes, notamment Liliane Pierre Paul, directrice de programmation de la Radio-télé Kiskeya, une femme conséquente, une journaliste qui a consacré sa vie au service du peuple haïtien, souligne la Sofa.

 

 

Dans une note, le parti politique Fusion des sociaux-démocrates haïtiens (Fusion) a aussi critiqué le comportement de Michel Martelly (« Sweet Micky »), qui a tenu des « propos irrévérencieux » à l’endroit des confrères Liliane Pierre-Paul et Jean Monard Métellus, à l’occasion du carnaval déroulé aux Cayes.

 

 

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Haïti Libre : Social : Faits et chiffres sur la situation des femmes en Haïti

 

 

08/03/2017 10:33:53

 

 

Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Femmes, ce mercredi 8 mars 2017, les Nations Unis nous invite à réfléchir en particulier sur la situation de nos filles et de nos femmes en Haïti dont les principaux défis sont : l´éducation, l´emploi, la santé et le manque de représentation dans les institutions.

 

 

Éducation :

 

 

57% de la population haïtienne a moins de 24 ans (6,2 sur 10,9 millions d’habitants) et cette caractéristique renferme un grand potentiel de développement et de croissance économique si les jeunes (incluant les jeunes filles) ont accès à une bonne éducation, aux services de santé, notamment la santé sexuelle et reproductive, et aux opportunités d´emploi. Néanmoins, investir dans les droits des jeunes filles pour leur permettre de recevoir une bonne éducation et de planifier leur famille comme elles le souhaitent est indispensable pour profiter de ce potentiel de croissance et pour que l´État soit en mesure de faciliter les services de base à la population.

 

 

Par ailleurs, le niveau d’éducation faible affecte les femmes de manière prédominante et est l’un des facteurs qui explique leur entrée précoce et sans qualification sur le marché du travail. Ainsi, l´ONU encourage aussi les efforts d´Haïti pour avancer dans l’accès égalitaire des femmes et l´intégration dans les curriculums de l´égalité et la transformation des stéréotypes, dans l´éducation formelle et non formelle, en introduisant aussi l´égalité de genre dans les manuels et la formation du professorat. Dans l’enseignement primaire et secondaire on note une parité des sexes depuis l'an 2000. Au niveau secondaire la scolarisation des filles dépasse également celle des garçons. Cependant, l’inégalité devient plus évidente en ce qui concerne les personnes ayant atteint des études supérieures (6,1% pour les femmes de 35 à 39 ans et 11,8% pour les hommes).

 

 

Emploi :

 

 

La précarité de l´emploi est l’un des éléments qui a contribué à une féminisation de la pauvreté en Haïti, puisque les femmes reçoivent des salaires inférieurs à ceux des hommes, travaillent plus dans le secteur informel, sans droit à la sécurité sociale (55,9%) et sont moins représentées dans les emplois formels (30%). Il est en effet crucial de promouvoir le partage des responsabilités dans le ménage et la famille et de valoriser les travaux domestiques non rémunérés.

 

 

Santé :

 

 

En matière de santé, en Haïti la proportion des femmes dont l´accouchement a été assisté par un personnel de santé qualifié a augmenté depuis 2006 (de 24,2% en 2000 à 37,3% en 2013). Néanmoins, presque deux tiers des accouchements se font encore sans assistance qualifiée (notamment dans les régions rurales) et le taux de mortalité maternelle était parmi les plus élevés de la région d’Amérique Latine et Caraïbes, avec 157 pour 100,000 en 2013. Cette situation est aussi liée à la santé de la reproduction. Même si 99% des haïtiens connaissent la contraception moderne, son utilisation a seulement augmenté de 22% en 2000 à 31% en 2012. Pour la croissance économique et pour le développement d´Haïti, il est très important que chaque jeune fille ait le droit de contrôler son corps et son avenir. Une grossesse par choix et non pas par hasard. Aujourd´hui, en Haïti, 11% des adolescentes (moins des 19 ans) ont eu au moins un enfant.

 

 

Économie :

 

 

Les Nations Unies soutiennent Haïti dans des réformes visant à donner aux femmes les mêmes droits aux ressources économiques, ainsi qu’à l’accès à la propriété et au contrôle des terres et d’autres formes de propriété, aux services financiers, à l’héritage et aux ressources naturelles. En Haïti, 71% des femmes ne possèdent ni terre, ni maison ; 20% possèdent un bien conjointement et seulement 9% sont propriétaires.

 

 

Représentation dans les institutions :

 

 

Pour finir, les Nations Unies en Haïti saluent également la ratification des instruments légaux internationaux en faveur de l´égalité des sexes, tels que la convention CEDEF (CEDAW) et encouragent l´application des dispositions législatives déjà initiées par le parlement et le gouvernement d´Haïti, notamment « La loi sur la paternité, la maternité et la filiation », « La loi sur les conditions du travail domestique », le « Projet de loi-cadre sur la prévention, la sanction et l´élimination des violences faites aux femmes et aux filles » et le quota de genre de 30% minimum au Parlement prévu par la Constitution de 1987. Aujourd’hui, Haïti compte seulement 4 femmes au sein des deux chambres parlementaires (1 femme au Sénat sur un total de 30 sénateurs et 3 femmes à la Chambre des députés sur un total de 119 députés).

 

 

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Haïti Libre : Union Européenne : Hommage aux femmes haïtiennes

 

 

08/03/2017 08:56:39

 

 

Dans le cadre de la Journée Internationale de la Femme, l'Union européenne et ses État membres représentés en Haïti (les ambassades d'Allemagne, d'Espagne, de France et du Royaume Uni), s'associent pour rendre un hommage particulier à toutes les femmes d'Haïti, qui sont le « poto mitan » de la société haïtienne et témoigner de leur soutien pour faire progresser la reconnaissance de leur rôle primordial en Haïti.

 

 

« Le développement économique et social du pays, tout comme l'approfondissement de la démocratie, ne se réaliseront qu'en permettant aux femmes d'exprimer tout l'étendue de leur potentiel pour y contribuer. A cet effet, il importe de consolider les conditions pour une égalité de genre effective et de lutter sans relâche contre les violences dont les femmes sont, chaque jour, les victimes.

 

 

Des efforts importants ont été consentis par l'État haïtien dans ce contexte. Parmi ceux-ci, Haïti a signé et ratifié les Conventions internationales contre les discriminations et les violences à l'égard des femmes. La Constitution prévoit également l'égalité devant la loi et le libre exercice des droits civiques sans distinction de sexe, ainsi qu’un quota d’au moins 30% de femmes dans tous les secteurs de la vie nationale et plus particulièrement dans la l’administration publiques.

 

 

Dans la pratique cependant beaucoup reste à faire pour passer d'une égalité formelle à une égalité réelle: les violences dont sont victimes les femmes demeurent souvent endémiques et interpellent la société toute entière, le budget du ministère des droits de la femme et de la condition féminine ne représente que 0,1% du budget de l'État tandis que le Parlement ne compte que 4 élues (3 députées et 1 Sénatrice). L'éducation des filles est une condition de leur émancipation, tout comme la maîtrise des naissances et la santé maternelle et infantile [...]

 

 

A l'occasion de la célébration de la Journée Internationale de la Femme, l'Union européenne et ses Etats membres réaffirment leur mobilisation et leur détermination à continuer à accompagner l'Etat, les acteurs sociaux-économiques et l'ensemble de la société haïtienne dans leurs efforts de lutte contre les discriminations fondées sur le genre [...] »

 

 

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DIVERS

 

 

Radio Métropole : L'autopsie du corps de Préval à été réalisée

 

 

Mercredi, 8 mars 2017 10:08

 

 

Les membres de la famille de René Préval sont dans l'attente des résultats de l'autopsie réalisé hier par le docteur Jean Armel Demorcy. C'est Elysabeth Préval qui avait formulé la requête à révélé le quotidien Le Nouveliste.

 

 

Dr Demorcy, directeur de l'Institut médico-légal, a procédé à la dissection et à l'inspection des différentes parties du cadavre pour déterminer la cause de la mort.

 

 

Le journal à rapporté que selon les premières indications non officielles, Préval n'aurait pas succombé à un accident cérébro-vasculaire (ACV). Des sources médicales ont fait état sans plus de précisions d'autres investigations.

 

 

Hier, le Sénateur Jean Renel Sénatus, Président de la Commission Justice, Sécurité du Sénat, avait exhorté le Ministre de la Justice, Camille Junior Edouard, d'instruire le Commissaire du Gouvernement pour qu'une autopsie soit réalisé sur le corps du défunt, afin de faire toute la lumière sur les cause de son décès.

 

 

Selon des experts les résultats de l'autopsie ne devraient pas être communiqués avant les funérailles nationales prévus pour ce samedi au kiosque Occyde Jeanty.

 

 

Vendredi, le corps de l'ancien président René Préval sera exposé dans les Jardins du Musée du Panthéon national (MUPANAH) au Champ de Mars.

 

 

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Haïti Press Network : Société-Justice : Sommé, Michel Martelly risque la prison pour attentat aux mœurs et outrage public à la pudeur  

 

 

AL/HPN         8 MARS 2017                      

 

 

Après avoir émis des obscénités au cours des dernières festivités carnavalesques dans la ville des Cayes, le citoyen Jean Nazaire Thidé a envoyé une sommation au nommé Michel Joseph Martelly lui demandant de présenter des excuses publiques dans les 48 heures. Faute par ce dernier d’obtempérer à cette sommation, il sera poursuivi pour attentat aux mœurs et outrage public à la pudeur conformément aux dispositions des articles 281 et 283 du Code pénal, d’après Me Patrick Pierre Louis.

 

 

Dans cette affaire, l’ancien président haïtien, Michel Joseph Martelly risque trois (3) ans de prison, l’inéligibilité pendant 10 ans, l'interdiction publique de performer pour lui-même et son groupe Sweet Micky et le placement dans un centre psychologique ou psychiatrique pendant un certain temps après la prison, a appris HPN qui a tenté sans succès de joindre le chef du Parquet, Me Jean Danton Leger à cette fin.

 

 

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Radio Kiskeya – Editorial: HALTE LA, SWEET MICKY !

 

 

2 Mars 2017

 

 

Publié le mardi 7 mars 2017

 

 

Le Carnaval 2017 a officiellement pris fin le mardi 28 février, mais certains des acteurs du grand événement culturel annuel vont continuer à se dissimuler sous les masques pour encore perpétrer des forfaits attentatoires à la moralité publique, aux intérêts économiques du pays et à l’instauration définitive de la démocratie dans le pays.

 

 

C’est le cas de l’artiste « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire ».

 

 

A la barbe du Comité d’organisation du Carnaval comprenant des gens de renom, au grand dam de la Mairie des Cayes, du nouveau chef de l’Etat et de son épouse, le triste personnage a égrené dimanche, lundi et mardi, comme à son habitude, un chapelet de propos obscènes tirés du vernaculaire, pour fustiger autant qu’il le pouvait tous ceux envers qui il nourrit une profonde aversion, particulièrement les journalistes Liliane Pierre-Paul (Radio Télé Kiskeya) et Jean Monard Métellus (Radio Télévision Caraïbes).

 

 

« Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire » n’a rien ménagé en termes de grivoiseries et de gestes indécents pour porter l’arrogance et la méchanceté à leur paroxysme, en présence du chef de l’Etat et de son épouse qui lui ont manifesté ravissement et enchantement par des gestes approbateurs, se joignant ainsi à la foule adulée et aveugle des fans de l’artiste atypique.

 

 

Choqués, certains le croient en pleine démence. Il n’en est pourtant rien. Car, quand il s’agit pour le personnage de faire le compte de tout l’argent qu’il a collecté au nom de ses collègues musiciens auprès de l’Etat et du secteur privé, il fait montre de toute la lucidité requise. Pour lui, comme pour certains autres de même acabit, il ne s’agissait point uniquement de carnaval et de défoulement. Il s’agissait surtout de règlement de compte politique et d’affaires, avec la collecte d’espèces sonnantes et trébuchantes, pendant que les masses, rendues inconscientes et abruties par la misère chronique, étaient entièrement livrés à leurs bas instincts.

 

 

D’aucuns prétendront qu’au Carnaval la liberté d’expression est entièrement de mise. Certes. Mais, ils n’oseront pas prétendre qu’à l’occasion la liberté d’expression se confond avec le droit de diffamer et de détruire impunément qui que ce soit. Pour « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire », il ne s’agissait point de Carnaval, mais d’une sordide campagne de haine et de destruction contre deux journalistes. Mais aussi, contre toutes nos valeurs fondamentales, contre toutes les règles de respect de la pudeur et de la moralité publique.

 

 

Ils prétendront aussi que, selon la tradition, certaines gens sont passées en dérision au Carnaval. Certes, également. Mais, ils devront tout aussi bien ajouter que les personnages décriés au Carnaval sont bien souvent ceux contre qui la population nourrit des griefs bien souvent justifiés.

 

 

Ce n’est pas le cas pour Liliane et Jean Monard. Personne ne peut prouver qu’ils se soient livrés à des actes indignes de leur statut de journalistes contre qui que ce soit. Il n’existe aucune preuve établissant que Liliane, contrairement à ce que prétend « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire », se soit enrichie aux dépens des employés de Radio Télé Kiskeya et roule en véhicule de luxe !

 

 

Campagne de haine et de destruction !

 

 

« Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire » va plus loin que le dénigrement des deux journalistes. Alors qu’il était supposé être au Carnaval dit « de solidarité avec les victimes de l’ouragan Matthew dans le Grand Sud », il a mis en garde des commerçants présents sur une des tribunes jonchant le parcours officiel des festivités, contre le financement de Radio Télé Kiskeya qu’il accuse de sous-payer ses employés.

 

 

Quelle affaire ! Il ne s’agissait vraiment pas de Carnaval ! Quelle est la position des associations patronales face à des allégations aussi outrageantes contre une entreprise privée qui, de dur labeur et de sacrifices énormes, touche aujourd’hui à sa 23e année d’existence. Avec ses moyens propres. Une station qui emploie une centaine de pères et mères de famille et qui honore ses obligations vis-à-vis du fisc !

 

 

Le triste personnage avait laissé entendre qu’alors qu’il se livrait à certaines indécences à tire de « Sweet Micky » l’Etat n’existait pas. En récidivant aux Cayes face à un Jovenel Moise visiblement envoûté par ses frasques, il nous a clairement signifié et rappelé que l’Etat n’existe point encore ! Et pour cause ! Car, le président Jovenel Moise a raté l’occasion de se démarquer publiquement de son prédécesseur et parrain politique. Il pouvait subtilement s’éclipser à l’approche du char monté par le sombre personnage, sachant à l’avance qu’il n’allait scander que des insanités et des diatribes puantes à l’endroit de professionnels de la presse.

 

 

Le Comité d’organisation du Carnaval national, dont certains membres jouissent d’une certaine réputation, et le Maire des Cayes, Gabriel Fortuné, n’ont pipé mot concernant les graves atteintes à la pudeur et à la moralité publique proférées par « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire. »

 

 

Le Commissaire du gouvernement des Cayes n’a même pas émis un communiqué concernant les atteintes à la pudeur et à la moralité publique.

 

 

Il convient tout aussi bien de noter qu’au nombre des complices directs et indirects de « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire » figurent aussi des sponsors du secteur privé qui ont permis qu’il puisse équiper son char de la honte et répandre sa musique nauséabonde.

 

 

Les « forces morales » représentées par les leaders religieux, brillent par leur silence !

 

 

Les partis politiques se taisent tout aussi bien face à l’ignominie !

 

 

Les organisations de la société civile, dont celles des femmes, l’université (publique et privée) restent globalement muettes face à cette vaste offensive de sape des valeurs fondamentales de moralité publique mettant en danger le présent et l’avenir de la nation.

 

 

Le Parlement, où certains prétendent être les super défenseurs de la moralité publique, se tait royalement face aux dérives inacceptables de « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire ».

 

 

Une grande partie de la presse, ne comprenant pas encore que l’offensive malhonnête contre 2 confrères les concerne au plus haut point, ont passivement diffusé la méringue carnavalesque pestilentielle et les images de la prestation hideuse de l’artiste-animal. Ces médias ne sont pas ciblés aujourd’hui. Mais, ils pâtiront demain de l’atmosphère que le piètre musicien finira par créer contre la presse libre et critique. Car, et nous en venons à l’aspect essentiel de la question, il s’agit pour « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire » d’empêcher qu’une presse libre et indépendante réclame justice et transparence dans la gestion de la chose publique. Il a certainement des choses à cacher qu’une justice forte et indépendante révélerait à coup sûr.

 

 

A ce niveau, il est loin d’être seul. Et cela explique qu’il bénéficie du support d’un très large secteur qui s’oppose résolument aux principes de transparence et de gouvernance rationnelle. Pour un tel secteur, ainsi que pour son représentant attitré du moment « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire », il faut que le pillage des ressources publiques continue, ainsi que l’octroi de contrats de gré à gré, en dehors des règles légales de passation de marché public, sources de juteuses commissions et de pots-de-vin mirobolants. Il faut que les affaires mafieuses de toutes sortes, dont le trafic illicite des stupéfiants, le trafic humain, la contrebande, se poursuivent impunément. Dans ces conditions, pas question d’investigation et de questionnement journalistiques. Il faut réduire à néant toutes les poches de résistance et mettre entièrement la presse sous contrôle. C’est donc le projet du vaste secteur des bandits légaux représentés aujourd’hui par « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire ».

 

 

Pour ce faire, tous les coups sont permis y compris les mensonges les plus éhontés. Il prétend par exemple que Liliane Pierre-Paul l’a appelé au téléphone pour solliciter sa clémence. Quelle fantastique invention ! Jamais Liliane ne l’a appelé. Et jamais Liliane ne l’appellera et ne le recevra, comme il l’avait récemment sollicité via des intermédiaires, dont un haut fonctionnaire dont nous tairons le nom. Entre le 17 et le 21 février 2017, des émissaires de l’obscur personnage ont en effet sollicité de Liliane qu’elle accepte de le recevoir pour « des excuses et l’annonce officielle du retrait de sa méringue calomnieuse. » Selon les mêmes intermédiaires, il était même prêt à ne pas participer au Carnaval. Soupçonnant une machiavélique machination, Liliane leur a répondu simplement que jamais elle ne le rencontrerait et que le mal dont il est l’auteur contre sa personne était déjà fait et que rien ne pourrait le réparer.

 

 

Le sinistre personnage a également accusé Liliane de faire partie d’un gang spécialisé dans le vol et la spoliation de terrains. Tiendrait-il une telle information de son lieutenant et « fidèle petit ami » Roro Nelson, sur qui pèsent fortement de telles accusations ?

 

 

En dépit de toutes ses allégations et menaces, nous ne nous laisserons pas intimider par « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire ». Cependant, comme il dispose encore d’une garde prétorienne et de partisans plus que zélés, et compte tenu de sa haine profonde et de sa volonté manifeste de nous détruire, nous le rendons publiquement responsable de la vie et de la sécurité de Liliane et de Jean Monard, de celles des membres du personnel de notre station et de la sécurité des installations et des biens de celle-ci. Des craintes tout à fait justifiées quand on se souvient de la fusillade jusqu’ici non élucidée contre le siège de la station, le 1er décembre 2015.

 

 

Tout ceci étant dit, Radio Télé Kiskeya n’entend point s’engager dans une polémique avec « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire ». Nous ne disposerions certainement pas des moyens nécessaires pour lui administrer les répliques appropriées. Car, comme il est vain de tenter de souiller d’excréments un vidangeur, nous ne disposerons jamais de mots suffisamment ronflants et nauséabonds pour atteindre, fustiger et salir un personnage de la trempe et de l’acabit de « Sweet Micky-Ti Simone-Ancien Président-Délinquant Notoire. » Cependant, la population qui est la principale victime des actes des « bandits légaux » saura, au moment opportun, régler ses comptes au piètre musicien. Rira bien qui rira le dernier !

 

 

Quant au président Jovenel Moise et à son épouse qui se sont montrés fortement amusés par les propos et les gestes obscènes du triste personnage, nous les invitons à continuer à danser, à se déhancher. Il faut croire qu’ils en profiteront. Assurément…

 

 

 

 

 

Port-au-Prince, le jeudi 2 mars 2017

 

 

Marvel Dandin/Liliane Pierre-Paul

 

 

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PRESSE INTERNATIONALE

 

 

Jamaica Observer: PJ Patterson pays tribute to former Haitian president Rene Preval

 

 

Wednesday, March 08, 2017  | 11:28 AM    

 

 

KINGSTON, Jamaica — Former prime minister PJ Patterson says Haiti and indeed the wider Caribbean Community (CARICOM) owes Rene Preval “a tremendous debt” for the way he guided the French-speaking country during his terms of office as president.

 

 

Preval, 74, died last Friday at his home in Port au prince and will be afforded a state funeral on Saturday.

 

 

“When I last saw my dear friend and brother as we met in Santiago, Cuba,  to bid a final farewell to the incomparable Fidel Castro, he appeared to be enjoying good health, full of energy and buoyant as ever. Suddenly, he has been taken from his beloved family and the people he so long and faithfully served to join the martyrs who have gone before”, Patterson said in a tribute this morning.

 

 

Preval served as prime minister for a short period under President Jean-Bertrand Aristide.   He was elected and served The Republic of Haiti, as president from 1996 to 2001 and again from 2006 to 2011.

 

 

Patterson said that it was during his first period of Presidential tenure and his incumbency as Chairman of the Caribbean Community that the first decisive steps were taken to bring Haiti into the fold of Caribbean Nations and thereby end its hemispheric isolation.

 

 

Patterson disclosed that as the Community's Special Representative after the devastating earthquake of January 2010 and in response to his invitation to serve as his Presidential Emissary, they became engaged in the struggle to deliver and rebuild from the ruins of that disaster.

 

 

He added that from those rare vantage points and in the extraordinary circumstances,  “I saw at first hand Preval's deep and abiding love for his country and the Haitian people. He was determined to maintain the sovereignty of the oldest black Independent country in this Western Hemisphere, to work assiduously to protect its Constitution and to promote a democratic tradition for the orderly transition of political power in a nation previously shackled by despotic rule.”

 

 

He added that these were not easy objectives especially in the closing years, as the internal and external pressures were severe.

 

 

“Rene Preval persevered and succeeded. History will accord him that special place deserved by the only Haitian Head of State democratically elected to have served two full terms of office and pass the baton twice to a successor duly chosen by its people.”

 

 

Preval, who died following a stroke, remains the only Haitian Head of State to have completed two terms since the fall of Jean-Claude Duvalier in 1986.