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Trois ressortissantes haïtiennes qui faisaient partie d’un groupe de 34 rapatriés accueillis au bureau régional du GARR à Belladère, le 20 janvier 2016, se plaignent d’avoir été victimes de harcèlement sexuel. Ces agressions, selon elles, se sont produites par des militaires dominicains chargés de leur arrestation et de leur reconduction au centre carcéral de Haina.
Con la finalidad de escuchar las fortalezas y las debilidades de las distintas agrupaciones campesinas y tener un diagnostico que permita conocer la situación de cada organización.
Le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) a organisé les 20, 21 et 22 janvier 2016 des distributions de 408 kits alimentaires et hygiéniques dans les sites d’hébergement à Anse à Pitres.
Cet article est une réédition en raison d’une erreur qui s’est glissée dans le traitement des données collectées.
La fin du Plan national de régularisation des étrangers (PNRE) s’est soldée par des opérations massives de rapatriement d’Haïtiens à la frontière haïtiano-dominicaine. Au cours des sept derniers mois de l’année 2015, 22599 rapatriés et 32952 cas de retours spontanés dits volontaires avaient été recensés par le GARR.
Claude Nelson, surnommé Paradis, un ressortissant haïtien de 29 ans rapatrié à la frontière de Jimani/Malpasse dans un état critique, le 13 novembre 2015, a finalement retrouvé sa famille à Tiburon (commune du département du Sud d’Haïti), sa commune natale.
Bien qu’il y ait une certaine diminution des cas de choléra dans les centres de traitements, les responsables et les habitants de la commune d’Anse-à-Pitres sont toujours très inquiets face à cette épidémie.
Le Groupe d’Appui aux Rapatriés et Réfugiés (GARR) a poursuivi les 4 et 5 décembre 2015 ses séances de sensibilisation dans le site Tête-à-l’eau, dans les communautés de Récif et de Réfugié.
Les rapatriements et les retours spontanés se poursuivent au niveau des différents points frontaliers haïtiano-dominicains. Pour le mois de novembre 2015, 3191 rapatriés et 5821 cas de retours spontanés ont été recensés.
Les conditions des coupeurs de canne haïtiens dans les bateys dominicains sont critiques. Ils sont quasiment abandonnés par le gouvernement dominicain et le Consortium Sucrier Central(CSC) qui exploitent l’industrie sucrière de Barahona, une province frontalière de la République Dominicaine.
A l’initiative du GARR, des organisations de droits humains et des associations de femmes commerçantes ont commémoré à la frontière la Journée Internationale pour l’Elimination de la violence à l’Egard des Femmes, le 25 novembre 2015.
Le GARR a organisé, les 22 et 23 novembre 2015 deux journées de sensibilisation dans les sites de Parc Cadeau I et II, de Fond Jeannette et de la communauté de Banane. 550 kits hygiéniques ont été également distribués pour aider les familles revenues de la #RD à combattre l’épidémie qui a déjà fait 17 décès et plus de 40 personnes infectées dans la commune.
Au cours d’une conférence de presse organisée au bureau du GARR à Christ-Roi, le lundi 23 novembre 2015, le Réseau des Marchand (e)s Frontaliers a dénoncé les divers cas d’abus et de violations de droits humains répétés dans les marchés haïtiano-dominicains à l’encontre des commerçant (e)s haïtiens.